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Débat épique sur l’EPIC (office du tourisme)

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L’article du Nice-Matin du jour revient sur les échanges au sujet de l’EPIC lors du conseil municipal de vendredi.

Il nous parait important de préciser deux points.

Au sujet de Facebook
Mme Salucki s’est en effet plaint « des propos tenus sur Facebook », mais elle ne visait pas du tout notre page qui est, comme chacun peut le constater, mesurée, informative et équilibrée. D’ailleurs, il n’y a eu aucune discussion au sujet de l’EPIC avant le conseil municipal sur notre page Facebook : Mme Salucki faisait référence à d’autres pages Facebook qui ont effectivement un contenu outrancier et condamnable.

Au sujet de notre éthique
Toute notre action locale est assise sur l’éthique, la transparence et la participation citoyenne ; nos actions et notre comportement depuis de longues années parlent pour nous, pas la peine d’y revenir. La parole nous ayant été coupée en conseil municipal, nous nous contenterons de rappeler les faits suivants :
– le directeur de l’EPIC a été informé du retrait de la compétence animation fin août, avec ordre de ne pas divulguer cette information, ce à quoi il s’est tenu ;
– il y a quelques semaines, une autre personne de l’EPIC a appris fortuitement ce projet et n’en a pas parlé à ses collègues ;
– les dix autres employés de l’EPIC ont appris le retrait de la compétence animation en lisant l’ordre du jour du conseil municipal lorsque nous l’avons publié sur notre page Facebook vendredi 17 ;
– plusieurs sont alors entrés en contacts avec notre élu pour demander confirmation, alors qu’il n’en connaissait quasiment aucun. Celui-ci a joint d’autres employés pour vérifier que personne n’était au courant. Puis il a contacté des administrateurs de l’EPIC qui, comme les employés, n’étaient pas au courant du retrait de la compétence animation avant la publication de l’ordre du jour du conseil.
– M. Bertrand, élu en charge de l’EPIC, n’a jamais fait de réunion avec les employés pour leur annoncer ce projet de retrait, ni Mme le Maire, ni le directeur de l’EPIC, ni personne.

A la lumière de ces faits que même M. Bertrand ne saurait discuter, nous vous laissons juges de l’éthique des uns et des autres.